Conclusion

En conclusion, dans notre TPE, nous avons pu constater que l’homme s’est inspiré des animaux pour planer. En effet, en regardant de plus près la forme de la voilure utilisée dans les deltaplanes, nous pouvons observer que cette dernière est similaire aux ailes de certains oiseaux.

De plus, tout comme les oiseaux, les deltaplanes utilisent les courants ascendants et descendants qui sont essentiels pour diriger le vol. Au niveau du mécanisme de vol d’un deltaplane, nous avons appris que la personne se situe dans une position face au vent et que cette dernière doit se pencher dans un sens ou dans un autre afin de pouvoir tourner et changer de direction tout comme le fait un oiseau. Le deltaplane reste le sport qui se rapproche le plus du vol des oiseaux grâce à son système de pilotage reposant uniquement sur le poids du corps. A noter également que le poids d’un deltaplane ne doit pas dépasser 35 kg afin d’être le plus similaire possible à la légèreté qui caractérise un oiseau. Grâce à ces différents éléments nous pouvons dire que le deltaplane s’est inspiré des oiseaux en calquant leurs principes de vol ainsi que leur morphologie.

De par le deltaplane, l’homme peut planer comme un oiseau mais il ne peut cependant pas voler avec des battements d’ailes comme le fait un oiseau où du moins pas à l’heure actuelle.

Néanmoins, le deltaplane n’est pas le seul sport permettant à l’Homme de planer comme certains animaux. En effet, il existe d’autres disciplines telles que le parapente, le parachute, ou bien encore le base jump (aussi appelé wingsuit) qui s’inspirent des animaux. Par exemple, dans le cas du base jump, celui-ci s’est inspiré des écureuils volants en reproduisant leur morphologie pour mieux planer.

Grâce à notre TPE, nous avons donc découvert qu’il existait de véritables similitudes entre les appareils utilisés par l’Homme pour planer et les animaux. D’où le fait que l’Homme s’est inspiré du vol de certains  animaux pour planer.

D’autres sports s’inspirant également du vol des animaux  existent. Le basejump en est un exemple puisqu’il tente d’imiter le vol des écureuils volants. En effet, le sportif porte une combinaison (voir photo ci-dessous)  lui permettant d’avoir une envergure plus importante et de planer sans aucune structure.